reportage

par Manon · Publié 30 juin, 2018 · Mis à jour 8 avril, 2019

Troisième Jour : Chaud Dimanche !

Le Download Festival 2018 s’est associé au Conseil Départemental de l’Essonne et aux salles Le Plan, Rack’am, et L’Empreinte de Savigny le Temple pour mettre en lumière les talents de l’Essonne au travers du Download Project et qui a été sélectionné ? Les Formidables TEACUP MONSTER ! La foule était présente pour les découvrir avec leur nouvel album sorti plus tôt en 2018. C’est avec leur rock énervé qu’ils ont réveillé les festivaliers de bonne augure ce dimanche ! Du rock au Download, ça ne peut qu’être efficace !

(Teacup Monster ©crédit photos : Sandrine Olivier)

S’ensuit ensuite un autre groupe Français à la voix féminine cette foix, THE NOFACE, avec Oma Jali au chant, participante de l’émission TV The Voice et les musiciens masqués de Skip The Use ! Ils lancent les premiers pogos et même un spit circle à peine après 14h00 ! Les festivaliers qui dormaient encore sont bels et bien réveillés et prêts à faire la fête !

(THE NOFACE – ©crédit photos : Sandrine Olivier)

On poursuit avec THE STRUTS et son chanteur aux faux airs de Freddie Mercury pour un rock glam efficace. Leur dynamisme et leur jeu puissant sont éblouissants !Le temps d’une setlist parfois bancale du groupe WOLF ALICE emmenée par la chanteuse Ellie Rowsell et pour lequel j’ai un avis mitigé, la Suède s’installe en scène avec les ROYAL REPUBLIC habillés de costumes tout en paillettes. Quel talent ! Une énergie communicative, des sourires craquants et surtout un garage rock plus qu’efficace qui nous fait danser ! Le public est littéralement conquis ! On n’oubliera pas la reprise de Metallica « Battery ». On a hâte de les revoir !

J’enchaîne avec la petit scène et le groupe LANDMVRKS, ces Marseillais lance le ton : c’est du metalcore , au chant anglais. Et quelle énergie ! Quelle folie se dégage de ce groupe qui joue beaucoup en Allemagne, quel grand regret de ne pas les voir assez souvent dans l’hexagone. La foule s’agrandit au fur et à mesure du set, lréagit aux riffs et hurlements du chanteur. Je pense qu’ils ont de nouveaux fans maintenant !

Je me dirige vers d’autres Suédois, THE HIVES, costume noir et blanc aux formes géométrique asymétriques. L’énergie et les pogos sont là, la foule est en transe, le chanteur n’hésite pas à venir aux plus près des fans. Le show monte en puissance, le chanteur, connu pour ses acrobaties, n’hésite pas à faire des sauts très impressionnants !

FRANCK CARTER est très attendu. À peine son show commencé qu’il enjambe les crash barrières pour se méler au public. Le concert prend une ampleur transcendentale avec ses fans autour de lui sui oeuvrent en un circle pit impressionnant ! Un show mémorable !

(Franck Carter and The Rattlesnakes – ©crédit photos : Sandrine Olivier)

La soirée débute avec les très attendu MASS HYSTERIA. Une scénographie époustouflante qui débute par l’arrivée d’une vingtaine de personnes cagoulées tapant comme des malades sur des percussions japonaises. Le groupe se mèle à l’émergie des tambours dans une synchronisation parfaite, le son est très bon, on en profite à fond ! Les « hits » du groupe furent accompagnés de pom-pom girls et déhanchements de danseuses brésiliennes. Les « furieux et furieuses » étaient ravis !

Les Maîtres du festival arrivés ce dimanche, les FOO FIGHTERS, véritables bêtes de scène, ont comblés les fans français ! Toute la scénographie est très détaillée et travaillée, rien n’est laissé au hasard. Vous devez les voir au moins une fois dans votre vie !