interview

Née dans une famille d’artistes, Lou-Adriane Cassidy baigne dans la musique depuis son plus jeune âge. Elle a récemment achevé une technique en chant pop/jazz au Campus Notre-Dame de Foy.Après de nombreuses expériences de scène en tant qu’interprète, autant comme soliste que comme choriste, elle propose maintenant son matériel original.

Son passage à l’émission La Voix IV au Québec lui ayant permis de se faire remarquer du milieu musical, elle s’est entourée de collaborateurs talentueux et travaille depuis plus d’un an sur ses chansons.

Forte d’une année mouvementée en tant que choriste d’Hubert Lenoir, riche de puissantes expériences et de nouvelles rencontres, elle présente ses nouvelles chansons, plusieurs étant le fruit de collaborations avec des auteurs-compositeurs reconnus.

Elle cherche maintenant à quitter les chemins battus et commence à tracer le sien. Elle se prépare d’ailleurs à sortir son premier album le 08 février prochain sous l’étiquette Grosse Boite, pour ensuite prendre les routes du Québec en tournée.

Quel est votre parcours ?

J’ai toujours plus ou moins fait de la musique, parce que j’ai grandi dans une famille de musiciens. J’ai été dans un programme de musique-études pendant 9 ans, et j’ai fait une technique en chant pop/jazz. J’ai commencé à écrire des chanson vers la fin de mon cégep, et j’ai commencé à m’inscrire à quelques concours, où mes chansons ont été bien reçues (Finaliste au Festival de la chanson de Granby, Finaliste aux Francouvertes, plusieurs prix au Festival de Petite-Vallée). J’ai sorti mon premier album, C’est la fin du monde à tous les jours, en février 2019, et je ferai pas mal de spectacles pendant 2019 et 2020. J’accompagne également Hubert Lenoir, avec qui je fais aussi plusieurs spectacles.

La musique, que représente-t-elle pour vous dans votre quotidien ? Quand avez-vous commencé à réfléchir à votre professionnalisation et quels ont été les déclencheurs ?

La musique a toujours fait partie intégrante de ma vie. Assez jeune, j’ai su que c’était ce que je voulais faire. J’ai été chanceuse, et les choses se sont alignées assez vite.

À quelles difficultés avez-vous été confrontés dans le cadre de votre professionnalisation ?

La remise en question constante, et le mode de vie. La vie de tournée est assez drainante et n’est pas très propice à la créativité. Je n’ai pas encore trouvé le bon équilibre.

En quoi les initiatives telles que le Crossroads Festival sont une aide précieuse ?

Ça me permet de tâter le terrain en Europe, et de jouer devant des gens, ce qui n’arriverait pas nécessaire si j’essayais de faire des spectacles sans contexte de présentation.

Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre discographie, vos principales scènes et votre actualité (sorties CD…) ?

Comme mentionné plus haut, j’ai sorti mon premier album solo en février 2019. J’ai déjà fait une cinquantaine de spectacles au Québec dans la dernière année, et j’ai pu participer à plusieurs festivals québécois (Festival d’été de Québec, Francofolies de Montréal, Festival de Tadoussac, Festival de Petite-Vallée, etc.). Mon premier vidéoclip est sorti fin juin 2019. Je prévois sortir une nouvelle chanson à l’automne 2019.

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