interview
Pouvez-vous nous parler de votre rencontre ?
Antoine et moi nous connaissons depuis l’enfance, et via divers projets artistiques et festivités musicales de notre région d’origine (Tournai), mais c’est en 2015 que nous avons commencé à jammer et composer des morceaux ensemble.
La musique, que représente-t-elle pour vous dans votre quotidien ? Quand avez-vous commencé à réfléchir à votre professionnalisation et quels ont été les déclencheurs ?
La musique a toujours été une passion, et a toujours eu une place importante dans nos vies, aussi bien en temps qu’auditeur que musicien. Aujourd’hui, c’est devenu une priorité et nous nous investissions à 100% dans notre projet, bien que nous n’ayons pas encore la prétention d’en vivre.
À quelles difficultés avez-vous été confrontés dans le cadre de votre professionnalisation ?
La difficulté en temps que musiciens belges est de passer la frontière du pays et d’avoir la chance de se produire à l’étranger. Etant donné que notre territoire n’est pas très large, nous ne disposons pas d’un grand réseau musical.
En quoi les initiatives telles que le Crossroads Festival sont une aide précieuse ?
Les festivals showcases comme le Crossroads sont l’occasion de se produire devant des professionnels, de les rencontrer et d’augmenter les chances de pouvoir tourner dans des salles et festivals étrangers.
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre discographie, vos principales scènes et votre actualité (sorties CD…) ?
Notre album « Deux » est sorti en mai 2018, et nous travaillons actuellement sur la sortie du deuxième album pour 2020. Cet été nous avons la chance de nous produire dans des festivals comme le « Electric Castle », « Colours of Ostrava », « Zomerparkfeest » ou « Jam Days » au Danemark.