chronique

// J’ai découvert les Young Gods il y a plus de 25 ans avec l’album « L’Eau Rouge » et le titre « L’Amourir » nous faisant bondir sur les dancefloor de ces bonnes vieilles soirées de rock underground.

Ce groupe qui en a tant inspiré dans les montagnes du rock et les vallées de l’indus nous est revenu avec un album aux multiples facettes d’un Tangram perdu dans le Big Data. 7 titres qui nous véhiculent sur une longue route, sorte de road movie sonique, entêtant, cosmique au groove acide. Parfois chaotique et poussé au rouge, d’autres fois d’une beauté sidérante et apaisante. A l’aube de leur 35 ans de carrière c’est un sans-faute, je suis à nouveau troublé par cet univers divin qui nous pousse jusqu’à l’horizon et ses mirages.
(chronique : Vincent Gaillard)

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